L’ agriculteur et la cinéaste

Le 01/07/2010 à 9:49 par La Rédaction


Dans la série “Que sont-ils devenus ?”, La Croix-7/04/10 consacre une page à Dominique Chardon, ancien secrétaire général de la FNSEA et agriculteur bio dans le Gard.

Outre son exploitation, son autre passion est l’association Terroirs et Cultures “fondée en 2005 pour défendre une agriculture durable fondée sur la diversité et la spécificité”. En 2006, il a lancé Planète Terroirs, prolongement mondial de l’association française. Il a baptisé l’un de ses vins bio “le marginal” en “clin d’oeil au surnom que lui avaient donné des confrères de la FNSEA”. “Pensez donc : un éleveur bio dans le temple de l’agriculture intensive !”, commente le quotidien chrétien.

À qui adressez-vous votre film documentaire Solutions locales pour un désordre global demande La Croix-7/04/10 à la réalisatrice Coline Serreau : “A tout le monde ! les convaincus, les non-convaincus, y compris les agriculteurs qui ont recours à la chimie. Comme les consommateurs, ils sont dans leur grande majorité victimes d’un système. Encore une fois, je n’ai envie de stigmatiser personne. Il s’agit juste de montrer que l’on peut changer”.

Notre revue de presse se veut un éclairage utile sur ce qui se dit sur la profession, en bien ou en mal, mais ne représente pas nécessairement l’opinion de la rédaction de Biofil sur les sujets traités.
Guy Laluc

Retrouvez l'intégralité de la Revue de presse dans Biofil N° 70 - Mai-Juin 2010

L’agriculteur et la cinéaste
Dans la série “Que sont-ils devenus ?”, La Croix-7/04/10
consacre une page à Dominique Chardon, ancien secrétaire
général de la FNSEA et agriculteur bio dans le Gard. Outre
son exploitation, son autre passion est l’association Terroirs
et Cultures “fondée en 2005 pour défendre une agriculture
durable fondée sur la diversité et la spécifi cité”. En
2006, il a lancé Planète Terroirs, prolongement mondial de
l’association française. Il a baptisé l’un de ses vins bio “le
marginal” en “clin d’oeil au surnom que lui avaient donné
des confrères de la FNSEA”. “Pensez donc : un éleveur bio
dans le temple de l’agriculture intensive !”, commente le
quotidien chrétien.
À qui adressez-vous votre fi lm documentaire Solutions locales
pour un désordre global demande La Croix-7/04/10 à la
réalisatrice Coline Serreau : “A tout le monde ! les convaincus,
les non-convaincus, y compris les agriculteurs qui
ont recours à la chimie. Comme les consommateurs, ils
sont dans leur grande majorité victimes d’un système.
Encore une fois, je n’ai envie de stigmatiser personne. Il
s’agit juste de montrer que l’on peut changer”.