Pour la lavande et le lavandin (51 % des surfaces de PPAM bio), l’avenir est bien sombre : le dépérissement à phytoplasme du Stolbur s’impose dans les champs. Pépiniéristes, organismes professionnels, producteurs, tous cherchent des perspectives.
“Le dépérissement, on le subit. Et c’est de pire en pire”, déplore une productrice de PPAM bio
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