Pour valoriser leur luzerne, à moins d’obtenir un contrat de production de semences, les céréaliers dépourvus d’usines de déshydratation à proximité sont quasiment obligés de la commercialiser en foin à des éleveurs. Un recours qui n’est pas sans poser des problèmes, notamment au niveau de la réalisation des travaux de fenaison.
Pour valoriser pleinement la
…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.