Signe d’un déficit chronique qui s’accentue, les espèces fourragères représentent à elles seules près de 40 % du nombre total de dérogations enregistrées sur la base de données des semences bio gérée par le Gnis. Les difficultés à les multiplier expliquent en partie cette carence.
Alors que les prairies représentent 66 % des surfaces bio
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